Benoit de Bretagne
Temps de séchage (colle, collage)
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Pas obligé, on peux mettre des tourillons cylindriques Ø4 avec un truc collé dessus pour ne pas qu'il tombe dans ch'caisseBenoit de Bretagne a écrit :par contre il ne faut pas se gourer au moment du perçage(plus gros diamètre qu'un petit trou de clou)
Benoit de Bretagne
Michel
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T'as raisonBenoit de Bretagne a écrit :Disons que ça me paraît plus facile de mesurer, positionner le chevalet par rapport à la gorge du sillet, puis maintenir bloqué(à la mais) et percer les 2ptits trous d'1mm ds la rainure... j'ai peur que percer au 4mm fasse trop vibrer bouger le chevalet...?
Benoit de Bretagne
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C'est ce que je voulais dire, en disant t'as raison, je pensais que c'était une bonne solution, et moi j'évite de me tuer à la tacheBenoit de Bretagne a écrit :c'est pas forcément avoir raison, c'est comment obtenir la même précision sans se tuer à la tache, ou risquer... que ça soit simple, sur et immédiat!
Benoit de Bretagne
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Quelques détails scientifiques à propos des colles animales:
La molécule de collagène a une résistance très forte à l'étirement.
L'élastine est très élastique (ohhhh).
Ce sont des macro-molécules, en fait des brins protéiques arrangés dans l'espace en hélice.
La petite parenthèse, c'est que cela se voit clairement sur un humain, à l'adolescence la peau parrait très jeune car la proportion élastine/collagène est beaucoup plus importante qu'à l'âge adlute et plus tard.
La propriété d'élasticité ou rigidité des colles animales sont déduites de cette structure moléculaire.
Ainsi, la colle de peau contient beaucoup plus d'élastine que la colle de nerf qui elle en contient plus encore que la colle d'os.
La colle de peau est donc la plus élastique, puis viens la colle de nerf, puis la colle d'os.
La difficulté de la préparation, et je m'en suis rendu compte, viens de la façon de préparer la colle: Il faut qu'il y ait hydrolyse des peptides, ce qui se fait vers 60°C, en revanche, il ne faut pas laisser chauffer la colle trop fort et trop longtemps, sinon on dénature complètement la préparation, et la colle n'aura plus la réversibilité qui fait son intérêt, c'est à dire le passage du gel à l'état liquide en chauffant lors d'une tentative de décollage.
Vu que pas mal de gens doivent faire cette erreur, il me semble important de le signaler.
Je lisais une fois quelqu'un qui expliquait que la colle animale n'était pas plus facile à décoller que la titebond. Colle bien préparée, c'est faux.
La molécule de collagène a une résistance très forte à l'étirement.
L'élastine est très élastique (ohhhh).
Ce sont des macro-molécules, en fait des brins protéiques arrangés dans l'espace en hélice.
La petite parenthèse, c'est que cela se voit clairement sur un humain, à l'adolescence la peau parrait très jeune car la proportion élastine/collagène est beaucoup plus importante qu'à l'âge adlute et plus tard.
La propriété d'élasticité ou rigidité des colles animales sont déduites de cette structure moléculaire.
Ainsi, la colle de peau contient beaucoup plus d'élastine que la colle de nerf qui elle en contient plus encore que la colle d'os.
La colle de peau est donc la plus élastique, puis viens la colle de nerf, puis la colle d'os.
La difficulté de la préparation, et je m'en suis rendu compte, viens de la façon de préparer la colle: Il faut qu'il y ait hydrolyse des peptides, ce qui se fait vers 60°C, en revanche, il ne faut pas laisser chauffer la colle trop fort et trop longtemps, sinon on dénature complètement la préparation, et la colle n'aura plus la réversibilité qui fait son intérêt, c'est à dire le passage du gel à l'état liquide en chauffant lors d'une tentative de décollage.
Vu que pas mal de gens doivent faire cette erreur, il me semble important de le signaler.
Je lisais une fois quelqu'un qui expliquait que la colle animale n'était pas plus facile à décoller que la titebond. Colle bien préparée, c'est faux.
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