BdB OM-42 deluxe deep body
Publié : jeu. 02 févr. 2012, 22:13
Je développerai dans les jours à venir l'historique qui m'a conduit hier à m'aventurer sous des latitudes hostiles, à désosser jusque tard dans la soirée des travers de porc qui ne m'avaient rien fait en les arrosant d'un ch'ti marmandais ma foi plus qu’exquis ... dont l'abus sans doute aura embrouillé mes sens puisque je me suis fait réveiller ce matin par un chevelu mal rasé qui heureusement m'a assuré qu'on avait pas commis l'irréparable profitant de l'absence de dame Chloé
Bref comme dirait l'autre, j'ai été dans le Ch'Nord pour y tourner la dernière page d'une aventure et en commencer une autre avec ce que j'en ai ramené ce soir en mes terres girondines.
Bon, comme l'honneur et la décence sont saufs si Benoît ne m'a pas menti sur mon mal de postérieur ne pouvant provenir que des heures passées derrière un volant, je ne pourrai malheureusement pas faire l'impasse sur ce qui conclue souvent les contes à faire rêver ... "ils furent heureux et eurent un bel enfant" !!
Or donc.
Cet ultime projet complète mes goûts et idéaux qui gravitent invariablement autour d'une base épicéa / palissandre en format contenu, caractère sonore et cosmétique Martin.
Si la palette sans compromis de l'Adi m'a toujours convaincu, restait à le parer de résonnances d'exorciste, d'un palissandre strictement au quartier rappelant certains sets de la 1er moitié du siècle dernier.
Avec une table aguicheuse de rétine griffée jusqu'à l'orgasme, un set dos/éclisses taillable dans un Rio juste inespéré promettant surtout de sonner comme moi (une vraie clôche ), soin laissé à l'homme de l'art d'en distiller mes aspirations sonores habillées en pointilleux caprices inspirés un accouplement incestueux en Deep Body de ces 2 là :
En ces temps de totalitarisme aseptisant célébrant l'artifice utilitaire et l'éphémère, inutile de suinter en superlatifs que les plus mal embouchés taxeraient de complaisance obséquieuse pour notre hôte : le résultat va bien au delà de tout ce que j'avais en tête, surpasse toutes mes références.
A peine née, je sais déjà que sa lutherie et son caractère, incompatibles avec un boulot ou une nana à plein temps me distillent une liberté qui emporte partout pour d'indispensables ailleurs.
Après une longue attente riche en lacets de vie, mon élan de verbiage plus contenu qu'à l'accoutumée pour cette introduction sonne l'aboutissement d'une passionnante et fructueuse quête à défaut des prémices désormais quadragénaire d'une forme de sagesse.
Au delà d'un art maîtrisé en 100aines d'heures ou chaque détail est abordé comme une clé de voûte, concrétiser un fantasme d'absolu en réalité à mes oreilles, mes mains et mes yeux, Benoît n'est pas qu'un (grand) luthier.
Son ouvrage a une âme et je me sens sincèrement privilégié d'accompagner désormais celle qui s'apprêtait ici à recevoir ses premières cordes et que je présenterai plus décemment qu'avec ce pauv' cliché d'Iphone très vite :
Du bonheur que je partagerai bien volontiers avec ceux qui voudront s'essayer à la 3D en live (photos & more to come après un bon dodo)
Bref comme dirait l'autre, j'ai été dans le Ch'Nord pour y tourner la dernière page d'une aventure et en commencer une autre avec ce que j'en ai ramené ce soir en mes terres girondines.
Bon, comme l'honneur et la décence sont saufs si Benoît ne m'a pas menti sur mon mal de postérieur ne pouvant provenir que des heures passées derrière un volant, je ne pourrai malheureusement pas faire l'impasse sur ce qui conclue souvent les contes à faire rêver ... "ils furent heureux et eurent un bel enfant" !!
Or donc.
Cet ultime projet complète mes goûts et idéaux qui gravitent invariablement autour d'une base épicéa / palissandre en format contenu, caractère sonore et cosmétique Martin.
Si la palette sans compromis de l'Adi m'a toujours convaincu, restait à le parer de résonnances d'exorciste, d'un palissandre strictement au quartier rappelant certains sets de la 1er moitié du siècle dernier.
Avec une table aguicheuse de rétine griffée jusqu'à l'orgasme, un set dos/éclisses taillable dans un Rio juste inespéré promettant surtout de sonner comme moi (une vraie clôche ), soin laissé à l'homme de l'art d'en distiller mes aspirations sonores habillées en pointilleux caprices inspirés un accouplement incestueux en Deep Body de ces 2 là :
En ces temps de totalitarisme aseptisant célébrant l'artifice utilitaire et l'éphémère, inutile de suinter en superlatifs que les plus mal embouchés taxeraient de complaisance obséquieuse pour notre hôte : le résultat va bien au delà de tout ce que j'avais en tête, surpasse toutes mes références.
A peine née, je sais déjà que sa lutherie et son caractère, incompatibles avec un boulot ou une nana à plein temps me distillent une liberté qui emporte partout pour d'indispensables ailleurs.
Après une longue attente riche en lacets de vie, mon élan de verbiage plus contenu qu'à l'accoutumée pour cette introduction sonne l'aboutissement d'une passionnante et fructueuse quête à défaut des prémices désormais quadragénaire d'une forme de sagesse.
Au delà d'un art maîtrisé en 100aines d'heures ou chaque détail est abordé comme une clé de voûte, concrétiser un fantasme d'absolu en réalité à mes oreilles, mes mains et mes yeux, Benoît n'est pas qu'un (grand) luthier.
Son ouvrage a une âme et je me sens sincèrement privilégié d'accompagner désormais celle qui s'apprêtait ici à recevoir ses premières cordes et que je présenterai plus décemment qu'avec ce pauv' cliché d'Iphone très vite :
Du bonheur que je partagerai bien volontiers avec ceux qui voudront s'essayer à la 3D en live (photos & more to come après un bon dodo)