bonjour,
une de mes premiere guitare que j'avais acheté rue de Rome en 1974 avait été fabriqué par ce luthier italien
je l'ai cedé a un collegue il y a cinq ans , je n'ai pas de photos mais j'essayerai d'en avoir
qui a encore une guitare de ce luthier? c'etait une lutherie tres lourde.
je n'ai pas trouvé de trace de son travail sur le net
cordialement
Banquetti
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- Benoit de Bretagne
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la mienne était une D cordes acier, table épicéa , fond en palissandre des indes, touche ébène . sur l'étiquette on lisait "Banquetti Paris". en 74 on trouvait peu de guitares cordes acier a un prix abordable sans que ce soit des asiatiques.
rémy
jean-marie Fouilleul n°425, 448
OM Thomas Fejoz n° 102
jean-marie Fouilleul n°425, 448
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Bonjour Rémy
ma seconde guitare à corde acier était une banquetti
je l'ai achetée d'occase en 75 je crois
cette guitare - Un D au poids assez élevé avait une belle couleur de son mais peu de puissance. Le manche était un peu large pour moi et à l'époque M Sinier de Ridder (galerie véro dodat à Paris) me l'avait un peu rétréci.
en fait cette guitare fabriquée en région parienne était assez bizare. Un jour voulant savoir comment elle était barrée j'ai mis une lampe dedans et j'ai découvert un barrage en éventail comme sur une classique et la table était plus épaisse qu'une martin ou une gibson de l'époque (les gutares que possédaient mes potes...) Le manche était renforcé par une barre non réglagble. Je le sais car une dizaine d'anées plus tard j'ai voulu rejouer et la guitare avait travaillé. Le luthier de l'poque qui habitait dans le 95 à Boissy l'aillerie (je ne me suvines plus bien de son nom) a du décoller la touche et en même temps il la remplacé la barre par un truss rod réglable. J'ai cédé cette guitare quelques années plus tard à un amis qui doit toujours la posséder.
en fait cela ressemblai tà une copie de D28 (touche ébène, chevalet ébène) avec une table massive barrée façon classique et des éclisses et un dos en placage palissandre.
Une fois j'ai réparé pour un gamin une banquetti classique trouvée dans un poubelle avec une tête cassée. Après une réparation très sommaire elle sonnait bien.
ma seconde guitare à corde acier était une banquetti
je l'ai achetée d'occase en 75 je crois
cette guitare - Un D au poids assez élevé avait une belle couleur de son mais peu de puissance. Le manche était un peu large pour moi et à l'époque M Sinier de Ridder (galerie véro dodat à Paris) me l'avait un peu rétréci.
en fait cette guitare fabriquée en région parienne était assez bizare. Un jour voulant savoir comment elle était barrée j'ai mis une lampe dedans et j'ai découvert un barrage en éventail comme sur une classique et la table était plus épaisse qu'une martin ou une gibson de l'époque (les gutares que possédaient mes potes...) Le manche était renforcé par une barre non réglagble. Je le sais car une dizaine d'anées plus tard j'ai voulu rejouer et la guitare avait travaillé. Le luthier de l'poque qui habitait dans le 95 à Boissy l'aillerie (je ne me suvines plus bien de son nom) a du décoller la touche et en même temps il la remplacé la barre par un truss rod réglable. J'ai cédé cette guitare quelques années plus tard à un amis qui doit toujours la posséder.
en fait cela ressemblai tà une copie de D28 (touche ébène, chevalet ébène) avec une table massive barrée façon classique et des éclisses et un dos en placage palissandre.
Une fois j'ai réparé pour un gamin une banquetti classique trouvée dans un poubelle avec une tête cassée. Après une réparation très sommaire elle sonnait bien.
bonjour
en effet, une belle couleur de son mais peu de puissance. sur la mienne le manche n'a pas bougé, c'est vrai qu'il était un peu gros . le vernis du dos avait craquelé et c'est certainement la guitare la plus lourde que j'ai eu dans les mains
en effet, une belle couleur de son mais peu de puissance. sur la mienne le manche n'a pas bougé, c'est vrai qu'il était un peu gros . le vernis du dos avait craquelé et c'est certainement la guitare la plus lourde que j'ai eu dans les mains
rémy
jean-marie Fouilleul n°425, 448
OM Thomas Fejoz n° 102
jean-marie Fouilleul n°425, 448
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