Guitares entre Mer et Ciel - Printemps 2011 : Inscriptions
Modérateurs : Benoit de Bretagne, carlos, chloé
Si Lukou s'est encore demmerdé pour réserver sa pilosité virile à ses seules copines sur une autre forum (si vous restez discret et promettez de ne pas répéter ça ici, son pseudo c'est La-Rosette-Nacrée sur www.fanclub des village-people.com ), un premier aperçu avant la suite ici http://www.wat.tv/video/entre-ciel-mer- ... jpzf_.html
Dernière modification par Steph le mar. 17 mai 2011, 00:02, modifié 1 fois.
Music is'nt a skill. It's just pure feeling.
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Mais oui les gars c'est bien à Gruissan qu'il fallait être ce week-end....!!
Questions guitares t'étais servi. T'avais la crème de l'extrait de custom shop Martin : du lourd, du très lourd !!! Tu pouvais écouter la différence entre une 000 table sitka et sa soeur en alpin. Tu pouvais te pâmer devant des madas à mourir. Tu pouvais jouer une dread de Bretagne en rio à peine terminée... à se damner . Tu pouvais même mettre tes mains tout au fond de la caisse de deux 45 BdB en cours de fab dont j'ai même pas le droit de te parler.... Oui du lourd j'te dis !! Sans parler des miennes...
Mais Gruissan c'était aussi de belles rencontres avec des passionnés (allumés ??), joueurs de blues ou de picking, avec Benoit, tellement disponible, avec des sourires permanents, des regards qui brillent... Un grand plein de bonne humeur.
J'te parle même pas des repas, ça va te faire du mal. Ah si juste un truc : j'ai compris que 37,2° c'était pas une température mais le degré d'alcool du vin local !!
Merci à tous pour ce bon week-end et merci à Steph pour cette organisation sans faille.
Je m'inscris d'ores et déjà au week-end 2012 !
Questions guitares t'étais servi. T'avais la crème de l'extrait de custom shop Martin : du lourd, du très lourd !!! Tu pouvais écouter la différence entre une 000 table sitka et sa soeur en alpin. Tu pouvais te pâmer devant des madas à mourir. Tu pouvais jouer une dread de Bretagne en rio à peine terminée... à se damner . Tu pouvais même mettre tes mains tout au fond de la caisse de deux 45 BdB en cours de fab dont j'ai même pas le droit de te parler.... Oui du lourd j'te dis !! Sans parler des miennes...
Mais Gruissan c'était aussi de belles rencontres avec des passionnés (allumés ??), joueurs de blues ou de picking, avec Benoit, tellement disponible, avec des sourires permanents, des regards qui brillent... Un grand plein de bonne humeur.
J'te parle même pas des repas, ça va te faire du mal. Ah si juste un truc : j'ai compris que 37,2° c'était pas une température mais le degré d'alcool du vin local !!
Merci à tous pour ce bon week-end et merci à Steph pour cette organisation sans faille.
Je m'inscris d'ores et déjà au week-end 2012 !
Sauvez un arbre, mangez un castor....
Entre les 3 mousquetaires et les 12 salopards, les 7 nains et les 10 commandemenents, c'est une tribu de 9 mercenaires du kiff qui s'est réunie ce week end en terre cathare.
18 paires de mimines pour 16 flys , 8 omnivores et un égorgeur de carotte, 4 toulousains et 5 dispensés de caleçon rose !
Notre commando donna l'assaut au virtuel du samedi après midi au lundi matin avant que les TGV ne rappatrient les derniers rescapés dans une réalité enrichie par cette parenthèse humaine.
Ce compte rendu d'une coïncidence fortuite n'engage donc que son auteur mais toute ressemblance avec la réalité est à imputer à cette dernière
Le privilège de nourrir ma passion en me goinfrant des univers de 8 fines gachettes a gravé sur les murs de mes repères à bien vivre de nouvelles empreintes que les photos seules n'illustrent pas.
Entre la triplette de Juke Box à picking qui font fumer leurs onglets en harmonie, la Birdie Connection qu'un Scorcese en mal d'inspiration rendrait culte depuis les calanques à l'arrière pays des parfums, un blues man qui profite de l'ombre du roi soleil pour cultiver sa prose, le raboteur à la fricadelle qui repousse les lois physiques en ayant découvert la pierre philosophale qui transforme une caisse de bois en cathédrale sans oublier le marco polo des opens, le chabal de l'acoustique, ma taffiole qui enfile (magnifiquement) du démanché à l'heure du p'tit déj en guise de réveil !
La grande récré n'a été mise en stand by que le temps d'essuyer une jarre de punch, de nettoyer les nappes à grands coups de fourchette et éponger le surplus de raisin fermenté prisonnier de ridicule cadenas en liège .
A ce stade, il me paraît utile de préciser à Chloé que si le pantalon de son promis (félicitations au passage, il a bien de la chance et toute la bande vous souhaite le meilleur) sentait encore l'abricot à l'arrivée à Lille, il n'a été victime que d'une excentrique ambidextre à 2 mains gauches, témoin de ma femme l'été dernier !
En tout cas, c'est ce que je dirais au juge si un jour Benoît se fait serrer au volant d'une Porsche en sortant d'un palace à New York
Entre jams et impros, récitals et pièces originales, les talents de tous m'ont sérieusement motivé à poursuivre mon laborieux apprentissage.
Le jeu de Cireman relayé par un origameur métronomique en liberté et un athlète picker en sandalette donne des envies de braquage dans le coffre fort à talent de la liste picking .
Avec son frangin, on aurait aussi bien filé des claques à Birdie quand il nous a confondu modestie et talent brut en nous balançant que ses oeuvres étaient à la portée de n'importe qui .
Outre le fait que ses déésses seraient castées pour n'importe quel défilé haute couture, elles sonnent comme des carillons... encore faut-il savoir comme les frangins bousculer une manouche mais mon plus bel accord à 2 doigts sur les 2 premières cases de sa Jumbo suffisent à hérisser toute pilosité, à faire vibrer le bulbe d'envie .
La aussi, il me paraît plus qu'utile de leur redire qu'en janvier prochain, j'ai du bol que ça se représente, c'est encore mon anniversaire
L'expertise de Benoît amène aussi son lot d'émotions. Si ma triple ne lui tend l'élastique que dans les limites fixée par la décence d'une union annoncée, nos OM toutes fraîches ont su lui inspirer ce que je prends pour des compliments.
Venant d'un chevelu talentueux qui fingnole des bombes avec les doigts, je ne boude de toute façon ni mon plaisir ni ma déviance sectaire avec cette custom mais qu'elle inspire ça à d'autres est plaisant au sens du partage.
Seul échec du week end, nous n'avons pas réussi à exorciser Keriti .
Malgré les bains de blings à la nacre, les suppos de torche et les infusions de bois exotiques, il a su garder la raison !
Le fait qu'il arpente cheveux au vent ... enfin en tout cas à pied le sentier des vagues au petit matin , la tisane de dread boostée aux décibels, le pinard en intra-veineuse ... rien n'y a fait et c'est tant mieux !!
Chevalier d'authenticité, il nous a par contre désintoxiqué par son jeu roots et sensible, sa verve littéraire déclamant du Dimey ou de l'Aragon... une belle rencontre avec la poésie, la simplicité classieuse.
Enfin, notre paparazzi de concours utilise son arsenal avec toujours plus de finesse. A quoi bon utiliser un accordeur sur une guitare de Lukou puisque il arrive à faire swinguer ses customs à 2 balles en open de Mi intégral ouais, EEEEEE et ça sonne
Avec Benoît, on pensait avoir été révéillé par un bootleg déposé sur la platine CD : la rencontre improbable d'un batteur balayant ses toms entraînant Mc Knee et Metheny à le suivre.
En fait de trio, envisager les croissants et le rinçage au café après les caresses de Lukou sur son OM a quelque chose de bien motivant pour ne pas sentir les excès de la veille et enchaîner sans faiblir.
C'est ce que nous avons fait depuis une terrasse surplombant la grande bleu qui dimanche en servait toute la palette sous les scintillements d'une tram espiègle.
Délaissant une sieste pourtant bien méritée, la terrasse de ma cabane serait enfin balayée par le battement de nos pieds sous les dernières mesures du week end.
La présentation pré natale de 2 prochaines doses (ultime me concernant) permettaient à Birdie tracer son plan pour sa prochaine bataille à plaisir et les premiers desperados prenaient congés .
Dernière soirée avec Keriti et Benoît sponsorisée par les pizzas de mon épouse, les gourdes de 75cl du crû et nos souvenirs communs ... un excellent coda à ce week end mémorable.
C'est grâce au forum et ce qu'il a inspiré à une poignée de passionnés passionnants que la découverte et le partage de mon bout de sable au milieu des vignes a été possible.
Je remercie au delà du verbal les 8 guitar-boys qui ont enfourché leur flys pour me prêter de leur temps et de leur talent.
Pour une fois, les absents n'auront j'espère eu le tord que de manquer cette première levée et je profite déjà de l'effervescente motivation à m'obstiner sur mes cagettes scintillantes.
Le temps d'apprendre quelques accords de plus et je trépigne déjà à une prochaine tournée de simplicité amicale servie sans mousse et avec la seule pression de profiter du moment présent.
Fin juillet, du pif aura coulé dans nos gosiers mais il sera temps d'envisager une suite pour prolonger le plaisir et baptiser de vos doigts experts celle(s) qui n'ont fait que nous exciter toute nue !
La façon de remercier dépend de ce que l'on reçoit a dit Pierre Dac ... pour le coup, comme un Merci n'y suffira pas, je me réfugie derrière celui que Keriti m'aura fait découvrir pour conclure :
Il ne faudra jamais dire qu'on était heureux
Qu'on avait du talent, qu'on était magnifiques
Que d'un exploit d'huissier on savait faire du feu
Et que du mal d'amour on faisait des musiques
Extrait et citation de Bernard Dimey
18 paires de mimines pour 16 flys , 8 omnivores et un égorgeur de carotte, 4 toulousains et 5 dispensés de caleçon rose !
Notre commando donna l'assaut au virtuel du samedi après midi au lundi matin avant que les TGV ne rappatrient les derniers rescapés dans une réalité enrichie par cette parenthèse humaine.
Ce compte rendu d'une coïncidence fortuite n'engage donc que son auteur mais toute ressemblance avec la réalité est à imputer à cette dernière
Le privilège de nourrir ma passion en me goinfrant des univers de 8 fines gachettes a gravé sur les murs de mes repères à bien vivre de nouvelles empreintes que les photos seules n'illustrent pas.
Entre la triplette de Juke Box à picking qui font fumer leurs onglets en harmonie, la Birdie Connection qu'un Scorcese en mal d'inspiration rendrait culte depuis les calanques à l'arrière pays des parfums, un blues man qui profite de l'ombre du roi soleil pour cultiver sa prose, le raboteur à la fricadelle qui repousse les lois physiques en ayant découvert la pierre philosophale qui transforme une caisse de bois en cathédrale sans oublier le marco polo des opens, le chabal de l'acoustique, ma taffiole qui enfile (magnifiquement) du démanché à l'heure du p'tit déj en guise de réveil !
La grande récré n'a été mise en stand by que le temps d'essuyer une jarre de punch, de nettoyer les nappes à grands coups de fourchette et éponger le surplus de raisin fermenté prisonnier de ridicule cadenas en liège .
A ce stade, il me paraît utile de préciser à Chloé que si le pantalon de son promis (félicitations au passage, il a bien de la chance et toute la bande vous souhaite le meilleur) sentait encore l'abricot à l'arrivée à Lille, il n'a été victime que d'une excentrique ambidextre à 2 mains gauches, témoin de ma femme l'été dernier !
En tout cas, c'est ce que je dirais au juge si un jour Benoît se fait serrer au volant d'une Porsche en sortant d'un palace à New York
Entre jams et impros, récitals et pièces originales, les talents de tous m'ont sérieusement motivé à poursuivre mon laborieux apprentissage.
Le jeu de Cireman relayé par un origameur métronomique en liberté et un athlète picker en sandalette donne des envies de braquage dans le coffre fort à talent de la liste picking .
Avec son frangin, on aurait aussi bien filé des claques à Birdie quand il nous a confondu modestie et talent brut en nous balançant que ses oeuvres étaient à la portée de n'importe qui .
Outre le fait que ses déésses seraient castées pour n'importe quel défilé haute couture, elles sonnent comme des carillons... encore faut-il savoir comme les frangins bousculer une manouche mais mon plus bel accord à 2 doigts sur les 2 premières cases de sa Jumbo suffisent à hérisser toute pilosité, à faire vibrer le bulbe d'envie .
La aussi, il me paraît plus qu'utile de leur redire qu'en janvier prochain, j'ai du bol que ça se représente, c'est encore mon anniversaire
L'expertise de Benoît amène aussi son lot d'émotions. Si ma triple ne lui tend l'élastique que dans les limites fixée par la décence d'une union annoncée, nos OM toutes fraîches ont su lui inspirer ce que je prends pour des compliments.
Venant d'un chevelu talentueux qui fingnole des bombes avec les doigts, je ne boude de toute façon ni mon plaisir ni ma déviance sectaire avec cette custom mais qu'elle inspire ça à d'autres est plaisant au sens du partage.
Seul échec du week end, nous n'avons pas réussi à exorciser Keriti .
Malgré les bains de blings à la nacre, les suppos de torche et les infusions de bois exotiques, il a su garder la raison !
Le fait qu'il arpente cheveux au vent ... enfin en tout cas à pied le sentier des vagues au petit matin , la tisane de dread boostée aux décibels, le pinard en intra-veineuse ... rien n'y a fait et c'est tant mieux !!
Chevalier d'authenticité, il nous a par contre désintoxiqué par son jeu roots et sensible, sa verve littéraire déclamant du Dimey ou de l'Aragon... une belle rencontre avec la poésie, la simplicité classieuse.
Enfin, notre paparazzi de concours utilise son arsenal avec toujours plus de finesse. A quoi bon utiliser un accordeur sur une guitare de Lukou puisque il arrive à faire swinguer ses customs à 2 balles en open de Mi intégral ouais, EEEEEE et ça sonne
Avec Benoît, on pensait avoir été révéillé par un bootleg déposé sur la platine CD : la rencontre improbable d'un batteur balayant ses toms entraînant Mc Knee et Metheny à le suivre.
En fait de trio, envisager les croissants et le rinçage au café après les caresses de Lukou sur son OM a quelque chose de bien motivant pour ne pas sentir les excès de la veille et enchaîner sans faiblir.
C'est ce que nous avons fait depuis une terrasse surplombant la grande bleu qui dimanche en servait toute la palette sous les scintillements d'une tram espiègle.
Délaissant une sieste pourtant bien méritée, la terrasse de ma cabane serait enfin balayée par le battement de nos pieds sous les dernières mesures du week end.
La présentation pré natale de 2 prochaines doses (ultime me concernant) permettaient à Birdie tracer son plan pour sa prochaine bataille à plaisir et les premiers desperados prenaient congés .
Dernière soirée avec Keriti et Benoît sponsorisée par les pizzas de mon épouse, les gourdes de 75cl du crû et nos souvenirs communs ... un excellent coda à ce week end mémorable.
C'est grâce au forum et ce qu'il a inspiré à une poignée de passionnés passionnants que la découverte et le partage de mon bout de sable au milieu des vignes a été possible.
Je remercie au delà du verbal les 8 guitar-boys qui ont enfourché leur flys pour me prêter de leur temps et de leur talent.
Pour une fois, les absents n'auront j'espère eu le tord que de manquer cette première levée et je profite déjà de l'effervescente motivation à m'obstiner sur mes cagettes scintillantes.
Le temps d'apprendre quelques accords de plus et je trépigne déjà à une prochaine tournée de simplicité amicale servie sans mousse et avec la seule pression de profiter du moment présent.
Fin juillet, du pif aura coulé dans nos gosiers mais il sera temps d'envisager une suite pour prolonger le plaisir et baptiser de vos doigts experts celle(s) qui n'ont fait que nous exciter toute nue !
La façon de remercier dépend de ce que l'on reçoit a dit Pierre Dac ... pour le coup, comme un Merci n'y suffira pas, je me réfugie derrière celui que Keriti m'aura fait découvrir pour conclure :
Il ne faudra jamais dire qu'on était heureux
Qu'on avait du talent, qu'on était magnifiques
Que d'un exploit d'huissier on savait faire du feu
Et que du mal d'amour on faisait des musiques
Extrait et citation de Bernard Dimey
Music is'nt a skill. It's just pure feeling.
Merci pour vos retours et votre bienveillance .
L'oeil de Lukou a chopé dans cette magnifique prise de vue la vibration de l'avatar que je me trimballe depuis mes premiers pas sur ce forum.
L'essentiel est là et en être le spectateur vous file de biens agréables frissons :
Un autre privilège est de pouvoir tâter ce qui ne fait qu'un filet de bave derrière son écran.
Cette merveille nous a tous tenu en haleine un moment et je vous assure que le bénéficiaire profite chaque jour du cadeau, du présent de son grand frère ... et j'espère que quelqu'un aura immoralisé la tite manouche toute nouvelle :
Et puis Florian est un des mieux placé pour avoir sans doute senti mon indescriptible émotion... quelque chose qui dispute à l'intime le plaisir d'avoir partagé sa première apparition :
Enfin, mettons immédiatement un terme à toute spéculation inutile : si les ricains ne lâcheront pas avant des siècles les vraies photos de l'enturbanné démolisseur de building, et bien que témoignant de la moralité du shooté visiblement submergée par une féminité mal refoulée , celle là gagnera peut être encore la 1er place sur le calendrier des luthiers version 2012 puisqu'elle ne bénéficie d'aucun trucage :
J'espère que le producteur / body guard / p'tit fréro / chauffeur de Birdie (c'est ça les stars ) complétera l'album de souvenirs avec quelques tofs supplémentaires.
L'oeil de Lukou a chopé dans cette magnifique prise de vue la vibration de l'avatar que je me trimballe depuis mes premiers pas sur ce forum.
L'essentiel est là et en être le spectateur vous file de biens agréables frissons :
Un autre privilège est de pouvoir tâter ce qui ne fait qu'un filet de bave derrière son écran.
Cette merveille nous a tous tenu en haleine un moment et je vous assure que le bénéficiaire profite chaque jour du cadeau, du présent de son grand frère ... et j'espère que quelqu'un aura immoralisé la tite manouche toute nouvelle :
Et puis Florian est un des mieux placé pour avoir sans doute senti mon indescriptible émotion... quelque chose qui dispute à l'intime le plaisir d'avoir partagé sa première apparition :
Enfin, mettons immédiatement un terme à toute spéculation inutile : si les ricains ne lâcheront pas avant des siècles les vraies photos de l'enturbanné démolisseur de building, et bien que témoignant de la moralité du shooté visiblement submergée par une féminité mal refoulée , celle là gagnera peut être encore la 1er place sur le calendrier des luthiers version 2012 puisqu'elle ne bénéficie d'aucun trucage :
J'espère que le producteur / body guard / p'tit fréro / chauffeur de Birdie (c'est ça les stars ) complétera l'album de souvenirs avec quelques tofs supplémentaires.
Music is'nt a skill. It's just pure feeling.