



Chargement des pizzas et bisous faits à ma tribu, il est temps de renforcer l'équipage par un Geib supplémentaire et de rallier notre salle de jeu sur pilotis... 20 minutes plus loin histoire de laisser les innocents à l'abri d'une suite certes totalement préméditée




Quelques cahuettes pour graisser les entonnoirs, les pizzas encore tièdes englouties pour éponger les premiers litres de raisin (à peine fermentés ... pas plus de 12,5°

Passé au lendemain, ce sont encore 3 bonnes heures de boeufs, compos et autres reprises qui s'égrenneront entre mer et ciel, presque en apesanteur tant le raisin importé de tous les terroirs nous aura délié l'inspiration... bon OK



Bref, heureusement que je suis resté concentré parcequ'à ce rythme, personne n'aurait pu aller border le Lukou dans son duvet ... et lui confisquer le dernier Médoc que le bougre comptait nous soustraire en le dissimulant sous sa grosse ... dread

On a quand même pu une nouvelle fois apprécier les repésentantes ricaines en lice : 2 mégaphones réglés sur le volume à 45




Une certitude : comme nous, les guitares évoluent, grandissent et c'est vraiment un privilège et une chance de pouvoir les suivre régulièrement pour apprécier leur évolution vers toujours plus de plaisir

6 heures de sommeil histoire de laisser le foie travailler au calme



Retour dans les Corbières pour remettre le couvert ... au menu : 5 guitares toujours mais plus de raisin, beaucoup de cafés vu que le public était alors passé d'un pack aviné


A nouveau des heures à nous échanger nos notes et nos assemblages de bois, nos mots et même quelques chants (Arbre qui vocalise son désir en Noir, ça le fait

Dîner en tout honneur (75 cl de raisin ... de la flotte et rien de plus dans les verres



