Après quelques jours de rêve, premiers bruits incongrus: ça frise à la 3°case. Tiens, l'action à baissé ?? Contrôle du manche : non, c'est bien droit . Coup d'oeil sur la table . Malheur, elle est plate comme une crêpe! Ou est passé ce merveilleux dôme qui m'avait couté tant de sueur?

(mécaniques Schaller façon Selmer : super)
Arrghh je suis maudit . Encore une "innovation" perso mal venue . C'est pourtant pas un hasard si tout le monde met des barres aussi grosses! Non , monsieur aime expérimenter: et bien il est servi . Dès le début , se dire qu'on va faire un maximum de conneries pour la première, comme ça, hop, débarrassé : c'est pas d'une grande finesse ! Et des conneries, il y en a eu:
- Flingage d'une belle table avec sa fameuse pliure en essayant de la conformer au moule
- Gondolage du fond après trempage pour conformage ; Aspect de collerette du 16°siècle: je ne pensais pas que le bois était aussi "plastique"!
- manche coupé trop court . prothèse sur le tenon
- mortaise approximative : montage de ferrures à la Cumpiano; là, ça tient !
- affinage des barres à l'extrême, pour voir si ça tient : on y est. ça tient pas .

Bon , alors ? on brûle tout? Après tous ces efforts... Tiens j'ai une idée ( au secours) . J'enlève le fond , renfort des barres à la fibre carbone et hop, le tour est joué.
A suivre