Sunny saturday ...le retour !
Publié : dim. 29 nov. 2009, 00:00
Pas moins de trois toulousaines
, 2 Geibs, 1 thermo 630 et un croco déguisé en fly
pour escorter mon aîné (
) depuis les terres occitanes vers ma contrée cathare : bref, un atelage complet pour basculer d'une fin de semaine vers un bon week end
Chargement des pizzas et bisous faits à ma tribu, il est temps de renforcer l'équipage par un Geib supplémentaire et de rallier notre salle de jeu sur pilotis... 20 minutes plus loin histoire de laisser les innocents à l'abri d'une suite certes totalement préméditée
mais totalement censurée pour rester un papa crédible
(au passage, la suite du post est interdite à Fenetch
sauf si tu lis "jus de raisin" à la place de gros pif qui tâche
)
Quelques cahuettes pour graisser les entonnoirs, les pizzas encore tièdes englouties pour éponger les premiers litres de raisin (à peine fermentés ... pas plus de 12,5°
) et la journée peut s'achever à dégoupiller 5 pelles consentantes qui auront su s'adapter à nos paires de paluches pour nous livrer tous leurs accents.
Passé au lendemain, ce sont encore 3 bonnes heures de boeufs, compos et autres reprises qui s'égrenneront entre mer et ciel, presque en apesanteur tant le raisin importé de tous les terroirs nous aura délié l'inspiration... bon OK
Arbre s'est aussi honteusement dopé à la bière et Claude a été pris en flague d'écouler du malte mineur (à peine 10 piges, une honte
) avec 2 potes rugbymen attirés par ... ben notre musique
Bref, heureusement que je suis resté concentré parcequ'à ce rythme, personne n'aurait pu aller border le Lukou dans son duvet ... et lui confisquer le dernier Médoc que le bougre comptait nous soustraire en le dissimulant sous sa grosse ... dread
On a quand même pu une nouvelle fois apprécier les repésentantes ricaines en lice : 2 mégaphones réglés sur le volume à 45
, une Alpine gaulée et sa frangine dévergondée (2 triples, pas une pour rattrapper l'autre
2 allumeuses qui ne disent jamais non
) ... et goûter aux joies d'une belle Cédre qu'Arbre a révé habillée en Palissandre
Une certitude : comme nous, les guitares évoluent, grandissent et c'est vraiment un privilège et une chance de pouvoir les suivre régulièrement pour apprécier leur évolution vers toujours plus de plaisir
6 heures de sommeil histoire de laisser le foie travailler au calme
, un petit déj que seul Claude a sauté (régime oblige) en enfournant direct une quiche à la crème fraiche
pendant qu'on trempait nos croissants dans nos cafés 
Retour dans les Corbières pour remettre le couvert ... au menu : 5 guitares toujours mais plus de raisin, beaucoup de cafés vu que le public était alors passé d'un pack aviné
à mes fistons et ma douce
A nouveau des heures à nous échanger nos notes et nos assemblages de bois, nos mots et même quelques chants (Arbre qui vocalise son désir en Noir, ça le fait
)
Dîner en tout honneur (75 cl de raisin ... de la flotte et rien de plus dans les verres
) et fin de la récré pour 4 papas décidément décidés à remettre ça dés que le Papa Noêl aura fait son taff ...
... faut pas qu'il faiblisse d'ailleurs le vieux en rouge et ses rênes ... mais ce sera une autre histoire





Chargement des pizzas et bisous faits à ma tribu, il est temps de renforcer l'équipage par un Geib supplémentaire et de rallier notre salle de jeu sur pilotis... 20 minutes plus loin histoire de laisser les innocents à l'abri d'une suite certes totalement préméditée




Quelques cahuettes pour graisser les entonnoirs, les pizzas encore tièdes englouties pour éponger les premiers litres de raisin (à peine fermentés ... pas plus de 12,5°

Passé au lendemain, ce sont encore 3 bonnes heures de boeufs, compos et autres reprises qui s'égrenneront entre mer et ciel, presque en apesanteur tant le raisin importé de tous les terroirs nous aura délié l'inspiration... bon OK



Bref, heureusement que je suis resté concentré parcequ'à ce rythme, personne n'aurait pu aller border le Lukou dans son duvet ... et lui confisquer le dernier Médoc que le bougre comptait nous soustraire en le dissimulant sous sa grosse ... dread

On a quand même pu une nouvelle fois apprécier les repésentantes ricaines en lice : 2 mégaphones réglés sur le volume à 45




Une certitude : comme nous, les guitares évoluent, grandissent et c'est vraiment un privilège et une chance de pouvoir les suivre régulièrement pour apprécier leur évolution vers toujours plus de plaisir

6 heures de sommeil histoire de laisser le foie travailler au calme



Retour dans les Corbières pour remettre le couvert ... au menu : 5 guitares toujours mais plus de raisin, beaucoup de cafés vu que le public était alors passé d'un pack aviné


A nouveau des heures à nous échanger nos notes et nos assemblages de bois, nos mots et même quelques chants (Arbre qui vocalise son désir en Noir, ça le fait

Dîner en tout honneur (75 cl de raisin ... de la flotte et rien de plus dans les verres



