Tu as la
colle traditionnelle(naturelles) de: peau de lapin, de nerfs de boeux... qui est couremment utilisée dans la lutherie du quatuor... en la dilluant plus ou moins on peut gérer la tenue des pièces, en violon on prévoit que telle partie nécessitera un jour d'être démonté lors d'une restauration, c'est pourquoi on dilue les paillettes avec plus ou moins d'eau, cette colle n'est pas irrémédiable, on peut à la chaleur er avc de l'eau démonter, décoller les pièces! On fait chauffer au bain marie la mixture, elle est utilisable que ds la journée, pas mal de gachis!
Un bon point est que cette colle fait gonfler le bois et peut donc rendre des petits jours invisibles

!
De même cette colle est sujet à l'humidité ambiante et donc on peut découvrir un beau matin l'instrument avec un joint ouvert, séparé...
Malgrè ceci, les colles "naturelles" peuvent aussi "costaud" que les colles modernes, exemple la "hide glue", colle froide que l'on utilise souvent en violon et guitare, pas mal de fanas des vieilles Martin collent les pièces de leurs répliques avec cette colle! Colle très proche des colles utilisées à l'époque.
Les colles modernes, la plus souvent utilisée est la "Titebond" de chez Franklin, colle qui résite à l'humidité, à la chaleur, colle qui prend en quelques minutes, dures en quelques heures, invisible, sans couleur, quand elle a durcit elle est très proche de la dureté du bois! Se conserve 1an à l'abris du soleil, facile à nettoyer... la marque incontournable!
la cascamite, colle qui fut utilisée par Gibson, des granulets que l'on mélange à l'eau... PRS l'a remise au goût du jour ds ses fabrications. devient très très dur!
l'epoxy, souvent utilsée par des luthiers américains, devient quasi incassable, résistante à 800kgs au cm2, colle très rapidement, invisible à l'oeil, fonctionne très bien pour les incrustations, se mélange bien aux pigments ou poussière d'ébène.
Les colle alyphatiques(colle du grand commerce) sont à oublier, elles deviennet élastiques avc le temps, souvent deviennent gris, blanchâtre au séchage.
Benoit de Bretagne