Salut Laurent.
Comme Perusse, je comprends et partage ton point de vue.
Un petit bémol tout de même, si les clients "vernis au tampon" ne viennent plus toquer à la porte de l'atelier du vernisseur, ils existent toujours. Ils faut juste les trouver, s'installer dans une niche (et elles sont encore nombreuses). Je connais deux vernisseurs à Nice qui sont submergés de boulot. Ils ont leur activité "traditionnelle" de mobilier ancien (souvent alimentée par les ébénistes et restaurateurs du coin) et ils se sont mis à démarcher les bateaux classiques. Ben là c'est jackpot !
Je ne crois pas que nous ayons tout perdu à ce point. Mais plutôt que les choses, les habitudes de travail, les manières de commercer ont changé et que nous n'avons pas su nous adapter à ces changements (on est un peu spécialiste de l'immobilisme en France...).
Bon courage à toi en tous cas et hâte surtout de t'entendre sur le thème du vernis au tampon, parce que là, je suis vraiment d'une nullité absolue...

Sauvez un arbre, mangez un castor....