nicobouds a écrit :Ouais le concert de Mandela !
J'ai du le voir 500 fois, peut être plus...
La version de Sultans reste encore aujourd'hui ma version préférée, pareil pour Brothers in Arms
Que de souvenirs, je connais les moindres notes, même les moindres mimiques de Knopfler ou de Clapton tout au long du concert
Je vais voir encore ces 2 loustiques cette année, Clapton en mai au Royal Albert Hall et Knopfler en Juin à Anvers
( petite parenthèse : je vais également voir Gilmour cette année, au Royal Albert Hall aussi, je ne l'ai jamais vu de ma vie, ça va être quelque chose
)))
Une Hd 40 MK, j'ai hésité avant d'acheter mon OM John Mayer, mais les occaz se font rares...
J'aimerai bien quand même mettre un jour la main sur un exemplaire, juste pour essayer
Tout pareil
Je l'avais vu en direct, enregistré, et revu des centaines de fois depuis ! J'avais eu ma première guitare quelques mois avant (Noël 87) et mon unique obsession était de jouer cette version. Pour Romeo, j'ai dû attendre de mettre la main sur le secret, 3-4 ans plus tard ... s'accorder en Sol
Et là, ça devient tout de suite plus facile de sortir l'intro de Telegraph, Wild West End, Porto Bello Belle ...
Mais pour moi, Knopfler est "mort" ce soir-là
: Sultans et Romeo sont tellement parfaites qu'il ne pouvait pas rééditer "l'exploit" ...
La version de Sultans de Basel en 1992 est un peu plus "jazzy", un peu plus propre ... trop ...
La version de Sidney (dernier concert de la tournée Brothers ...) est super aussi, légère, rythmée, Knopfler comme on l'aime : elle annonce celle de Wembley.
Celle d'Alchemy est top également.
Mais, en effet, celle du Mandela' est loin devant toutes les autres.
Ouais, Knopfler et le son ... Wild West End, l'intro de Telegragh et le solo qui fait décoller le morceau, It Never Rains, etc.
Pour moi, celle qui résume le mieux "tout" le jeu Knopflerien, c'est Ride across the river : la finesse du son, le jeu aérien, les ambiances installées par UN bend qui tue ...
Ce qui est dingue, c'est sa palette de jeu : je veux dire, il n'y a rien de commun entre les sublimes arpèges de Wild West End, le riff de Money, les arpèges de fin de On every street ... et Going Home (version B.O) !!! Pourtant, c'est Knopfler à chaque fois !
Et le son de l'intro et du solo final de Tunnel Of Love, ainsi que de Going Home sur Alchemy, + ces merveilles de Porto Bello Belle, The Long Highway, How Long ...
Je suis un peu (beaucoup, en fait) nostalgique du knopfler début 80's, de son jeu magique : sur un album récent, figure le morceau Secondary Waltz (sympa, sans plus) ... sauf que le morceau existe depuis des lustres avec une tout autre mélodie ... du pur concentré de Knopfler "grande période DS" : 100 fois mieux !
Un autre morceau totalement méconnu, c'est "If I had You" sur un 4 titres sorti entre Love Over Gold et Brothers' : là encore, le pur Knopfler, le jeu aérien, la rythmique typiquement dyslanesque que l'on trouve dans plusieurs compos de Dire Straits. Bref, une tuerie.
Quand j' y pense, c'est marrant parce que le premier morceau que j'adoré, c'est Insdustriel Disease : j'adorais le jeu syncopé et l'ironie contenue dans la musique elle-même (et dans la voix et les paroles). J'étais en 6ème (en 83/84, je crois !) et le jour de la rentrée, nous avons eu notre premier cours d'Anglais : le soir même, Harrap's et traduction du morceau !
Gilmour, sublime aussi, un jeu déchirant.
En 2009, Jeff Beck invite Gilmour sur scène au RAH : le morceau s'appelle Jerusalem ...
https://youtu.be/GSUdZrnIWao
L'OM JM, vraiment une belle guitare, j'adore le filet qui détoure le chevalet. J'adore la version acoustique de Slow Dancing In A Burning Room enregistrée dans un bar, genre incognito ... Wahou, le pur jeu
Du coup, je réécoute en ce moment même la version "Strat" ... le pur jeu et le pur chanteur
A part DS, j'adore Guns (période Appetite'... Paradise City, Night Train ... là, j'avoue que Knopfler et sa Pensa ont dû laisser un peu de place à Slash et sa Les Paul) et Gary Moore (période Run for cover), et comme tout le monde, les incontournables de Led Zep, de Pink Floyd, Neil Young et The Eagles.
